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Recyclage éclectique
7 décembre 2006

Réactions en chaîne

Monsieur Deschênes est notre porf de journalisme. Je sais que tous ses élèves le savent. J'espère que la bande de ploucs de regina ne s'est pas demandé pourquoi je le mentionnais. C'est pour les autres, s'ils existent, qui liront, peut être, le texte.

Cette semaine, un texte sur les femmes a fait beaucoup réagir. Je ne crois pas que je devrais dire les femmes, ce serait généralisé à outrance, un peu comme l'article, qui abonde dans la globalisation du genre humain et surtout féminin. Mais je crois que notre cher professeur voulait écrire sur une sorte de femme qui lui tape sur les nerfs. Évidemment, c'est mon interprétation. Je  ne prétend pas être dans la tête de monsieur d. Je ne tiens pas vraiment à y être non plus. Ce doit être étrange...

J'ai lu le texte, et j'avoue suivre le blog de regard urbain régulièrement. Alors, ça m'amusait. C'était drôle. Monsieur Deschênes, qui disait, entendons-nous un peu n'importe quoi, sur les femmes. Il provoque. Il se fâche et il est exaspéré du monde, maquillé de haut en bas. Comme s'il manquait un peu partout de «vrai». Il a d'ailleurs réécrit sur le même article pour signifier qu'il parlait plutôt de la crétinerie humaine, des «fakeurs» et de tout ceux qui vivent leur tripe de pouvoir en faisant chier les autre. Je reprend ses mots. Son article sur les femmes s'avère être une lithanie bien inspirée, mais dont le sujet a mal été dirigé. De toute façon ça a eu l'effet prescrit: ça provoque tout le monde. Tout le monde en parlait. C'est réussi, non? Mais je pense, monsieur Deschênes qu'il faut se rappeler, en contrepartie, la fraction des humains qui sont des êtres extraordinaires, et dont on parle si peu. Dont vous nous parlez si peu.

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Commentaires
E
Moi, sais-tu, je me contente de ton interprétation de ce texte. Je n'irai même pas le lire.<br /> <br /> Je me suis battu toute ma vie, à ma façon, pour l'égalité hommes-femmes. Une égalité, en ce qui me concerne, qui est teintée de cette merveilleuse différence qui nous distingue. Mais cette différence, elle est intangible.<br /> <br /> Le 6 décembre 89, j'avais 20 ans. Je venais à peine de finir mon cégep dans une spécialité où j'étais entouré de filles (1 gars/35 filles). Quand on sait comment le drame s'est déroulé, vous comprendrez mon bouleversement.<br /> <br /> Le 6 décembre 89, j'avoue avoir eu de forts doutes sur le genre masculin. Ma perception de mes pairs s'est un peu replacée depuis. Mais des textes comme ceux de ton prof, très peu pour moi.<br /> <br /> El P.
A
Je viens de lire le texte de ton prof et.. ouf! Ça m'a laissé sans mot. Je ne suis pas d'accord avec ses propos. Il a beaucoup trop généralisé, d'après moi. C'est pas parce que dans une émission qu'il venait d'écouter, les femmes étaient ainsi, que toutes les femmes sont des connes qui ne laissent jamais parler personne et qui croient avoir raison sur tout. Après tout, il existe aussi des hommes qui ont ce défaut! En tout cas ça m'étonne vraiment qu'un prof écrit un texte ainsi à la vu de tous ces élèves et dans lequel il écrit des mots vulgaires face aux femmes!
M
Je continue de te lire, même si je ne réagis pas toujours.Moi, J,aime cela aller dans ta tête par l'intermédiaire de ton blog. Est-ce dans ta tête? dans tes yeux? ou dans ton coeur. En tout cas J'aime te lire. C,est une douceur pour l'âme, pas l'âne! Je t'aime
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