Réactions en chaîne
Monsieur Deschênes est notre porf de journalisme. Je sais que tous ses élèves le savent. J'espère que la bande de ploucs de regina ne s'est pas demandé pourquoi je le mentionnais. C'est pour les autres, s'ils existent, qui liront, peut être, le texte.
Cette semaine, un texte sur les femmes a fait beaucoup réagir. Je ne crois pas que je devrais dire les femmes, ce serait généralisé à outrance, un peu comme l'article, qui abonde dans la globalisation du genre humain et surtout féminin. Mais je crois que notre cher professeur voulait écrire sur une sorte de femme qui lui tape sur les nerfs. Évidemment, c'est mon interprétation. Je ne prétend pas être dans la tête de monsieur d. Je ne tiens pas vraiment à y être non plus. Ce doit être étrange...
J'ai lu le texte, et j'avoue suivre le blog de regard urbain régulièrement. Alors, ça m'amusait. C'était drôle. Monsieur Deschênes, qui disait, entendons-nous un peu n'importe quoi, sur les femmes. Il provoque. Il se fâche et il est exaspéré du monde, maquillé de haut en bas. Comme s'il manquait un peu partout de «vrai». Il a d'ailleurs réécrit sur le même article pour signifier qu'il parlait plutôt de la crétinerie humaine, des «fakeurs» et de tout ceux qui vivent leur tripe de pouvoir en faisant chier les autre. Je reprend ses mots. Son article sur les femmes s'avère être une lithanie bien inspirée, mais dont le sujet a mal été dirigé. De toute façon ça a eu l'effet prescrit: ça provoque tout le monde. Tout le monde en parlait. C'est réussi, non? Mais je pense, monsieur Deschênes qu'il faut se rappeler, en contrepartie, la fraction des humains qui sont des êtres extraordinaires, et dont on parle si peu. Dont vous nous parlez si peu.